Ne montrez plus vos seins...
Pour que vos seins restent sains...
Ne montrez plus vos seins!
Extrait de l'infolettre de Néosanté de Yves Razir
du 27 mars 2013:
La mammographie augmente
l'incidence du cancer
« Si le dépistage du cancer était un médicament, il aurait été retiré »
- Peter Götzschze -
Citations de Peter Götzsche, co-fondateur de Cochrane :
«Il ressort des deux grands essais inclus dans notre évaluation Cochrane que l’auto-examen régulier des seins n’a pas démontré d’efficacité sur la mortalité par cancer du sein, voire qu’il est dommageable, car il entraîne une augmentation du nombre de biopsies. Même l’American Cancer Society, pourtant très favorable au dépistage, ne le recommande plus.
En ce qui concerne le dépistage par mammographie, des études rigoureuses et récentes montrent qu’il ne réduit pas l’incidence des cancers avancés et n’a pas d’effet sur la mortalité par cancer du sein.
En revanche, le dépistage transforme des femmes en bonne santé en patientes cancéreuses, et entraîne une augmentation du nombre de mastectomies, parce qu’il détecte des tumeurs qui n’auraient pas mis la santé de ces femmes en danger, voire n’auraient jamais été détectées si ces femmes n’avaient pas participé au dépistage.
Dans les pays dotés de programmes, le taux de surdiagnostic est d’environ 50%. En évitant le dépistage, les femmes de la tranche d’âge concernée peuvent réduire d’un tiers leur risque de se faire diagnostiquer un cancer du sein. Le meilleur moyen de réduire l’incidence du cancer du sein, c’est donc de stopper le dépistage».
«Les femmes ne devraient plus accepter la désinformation à laquelle on les expose. Le mépris du principe du consentement éclairé, le déni collectif, la manipulation des données concernant le surdiagnostic et le faible bénéfice du dépistage, tout cela représente peut-être le plus grand scandale éthique qu’ait jamais connu la santé.
Des centaines de millions de femmes ont été séduites par l’idée du dépistage sans savoir qu’il pouvait leur porter préjudice. Il est temps que cela cesse».
Dans son dernier livre «Mammography screening: truth, lies and controversy» ["Mammographies, dépistage, mensonges et controverses"], Peter Götzsche consacre tout un argumentaire à la mammographie, dont il démonte les arguments favorables en démontrant qu’ils sont tout simplement faux.
Quant au Dr Marc Girard il écrit carrément que le dépistage des tumeurs mammaires est en réalité «un piège à c….».
Alors, si vous pensez : "Mes deux seins sont à moi et non aux mé-de-cins", gardez-les pour vous, pour vos nourrissons et pour ceux qui vous aiment...!
Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, parle du SIDA
Le Professeur Luc Montagnier
parle du SIDA
A la question d’un journaliste « si l’on possède un bon système immunitaire naturel est-il possible de guérir du sida ?»
Luc Montagnier répond « oui », c’est une question d’ « hygiène » et de « nutrition ».
Dans un documentaire sur le sida, « House of Numbers », réalisé par Brent Leung fin 2009, le professeur Luc Montagnier, découvreur du virus du sida en 1983, se livre à un certain nombre de déclarations intéressantes : « Si vous avez un bon système immunitaire, il se débarrassera du VIH en quelques semaines » affirme–t-il à deux reprises, insistant également sur l’importance de l’alimentation, de l’hygiène et de l’éducation dans la lutte contre le sida : « Des mesures beaucoup moins chères et beaucoup plus efficaces que les antirétroviraux et qu’un hypothétique vaccin ».
Comment expliquer qu’elles ne soient pas mises en œuvre par les gouvernements locaux ? « Ces gouvernements sont conseillés par des gens qui ont tout intérêt à promouvoir les solutions les plus profitables pour les groupes pharmaceutiques. Avec les mesures simples que je préconise, il n’y a aucun profit à réaliser… ».
Le journaliste : “vous avez parlé du stress oxydatif. Est-ce que traiter le stress oxydatif est l’une de meilleures façons de s’occuper de l’épidémie africaine de sida ?
Luc Montagnier : “Je crois que c’est l’une des façons d’aborder le problème pour diminuer le taux de transmission. Je crois qu’on peut être exposé au VIH plusieurs fois sans être infecté de manière chronique. Si vous avez un bon système immunitaire, il se débarrassera du virus en quelques semaines. Et c’est cela aussi le problème des Africains : leur nourriture n’est pas très équilibrée, ils sont dans un stress oxydatif, même s’ils ne sont pas infectés par le VIH. A la base, leur système immunitaire ne fonctionne pas bien, et donc peut permettre au virus de rentrer dans l’organisme et d’y rester. Il y a plusieurs solutions, autres que le vaccin – le mot magique : le vaccin ! – De nombreuses solutions existent pour réduire la transmission, qui sont de simples mesures d’alimentation – en donnant les bons antioxydants – et des mesures d’hygiène – en combattant les autres infections. Ces mesures ne sont pas spectaculaires, mais elles peuvent parfaitement réduire l’épidémie au niveau de ce que connaissent les pays occidentaux.”
Le journaliste : “Si vous avez un bon système immunitaire, alors votre corps peut naturellement se débarrasser du VIH ?”
Luc Montagnier : “Oui”
Le journaliste : “C’est intéressant… Pensez-vous qu’en Afrique, nous devons insister davantage sur les antioxydants, et des mesures de même type, plutôt que sur les antirétroviraux ?”
Luc Montagnier : “Nous devons insister sur un ensemble de mesures : antioxydants, conseil en nutrition, alimentation, lutte contre les autres affections (malaria, tuberculose, parasites, vers…), l’éducation, bien sûr, l’éducation génitale pour les femmes – et pour les hommes aussi. Des mesures très simples qui ne sont pas très coûteuses, mais qui peuvent être très efficaces. Et actuellement, je suis inquiet de voir se développer des actions nombreuses et spectaculaires, menées par des « fonds globaux » – Bill Gates, etc. –, dont la seule finalité est d’acheter des médicaments et de trouver un vaccin. En revanche, les mesures que je préconise ne sont absolument pas financées. Ça dépendrait des gouvernements locaux qu’elles le soient. Mais ces gouvernements prennent leurs décisions à partir de l’action de « conseillers scientifiques » et de lobbies : autant dire qu’on ne leur en parle pas souvent…”
Le journaliste : “Bon, il n’y a pas d’argent pour l’alimentation, c’est ça ? Il n’y a pas de profit à faire ?…”
Luc Montagnier : “Il n’y a pas de profit à faire, oui. L’eau est importante, l’eau est la clé.”
Le journaliste : “Je reviens sur une chose que vous avez dite. Vous avez parlé du fait que si on a un système immunitaire solide, on peut se débarrasser du virus du sida…”
Luc Montagnier : “Exact”
Le journaliste : “Si vous prenez un Africain pauvre, qui a été infecté, et si vous renforcez ses défenses immunitaires, pensez-vous qu’il soit possible de le débarrasser du VIH ?”
Luc Montagnier : “Je pense que oui”
Le journaliste : “C’est un point important…”
Luc Montagnier : “C’est un point important qui est complètement négligé. Les gens pensent toujours aux médicaments et aux vaccins. Ce que je dis est différent de ce que vous entendez par ailleurs. ”
Certains scientifiques, qui ont pris acte de ses propos, contrattaquent en expliquant qu’il faut manger essentiellement et presque uniquement des fruits pour arriver à un tel résultat, seule cette sorte d’alimentation consoliderait le système immunitaire, mais Luc Montagnier parle juste d’alimentation saine.
Pour le moment les instances officielles n'ont pas relayé l'information, car si un changement de mode de vie alimentaire permanent peut guérir du sida comme l’affirme Luc Montagnier, alors il peut aussi améliorer ou guérir un grand nombre d'autres maladies graves, ce qui entrainerait l'abandon quasi systématique des médicaments et l'effondrement des lobbys pharmaceutiques.
"L’objectif principal sera le phénomène d’ondes électromagnétiques produites par l’ADN dans l’eau. Nous étudierons aussi bien la base théorique que les applications possibles en médecine ».
Lorsque la revue Science lui demande de quelles ondes il s’agit, Montagnier répond :
« Ce que nous avons trouvé c’est que l’ADN produit des changements structurels dans l’eau qui persistent lors de dilutions élevées, et qui conduisent à des signaux de résonance électromagnétique détectables. Tout ADN ne produit pas systématiquement des signaux détectables avec notre dispositif. Les signaux à haute intensité proviennent d’ADN bactérien et viral ».
Science : « Ne pouvez-vous pas poursuivre vos recherches en France ? »
Luc Montagnier :
« Je ne dispose pas de beaucoup de financement ici. A cause des lois françaises sur les retraites, je ne suis plus autorisé à travailler dans une institution publique. J’ai sollicité des financements d’autres sources, mais on me les a refusés. Il existe une espèce de peur sur cette question en Europe. On a peur de les publier à cause de la terreur intellectuelle de la part de ceux qui ne les comprennent pas ».
Biographie de Luc Montagnier
Luc Montagnier est un biologiste virologue français, né le 18 août 1932 à Chabris, dans l’Indre. Le 6 octobre 2008, il est co-lauréat duPrix Nobel de physiologie ou médecine avecFrançoise Barré-Sinoussi, pour leur découverte en 1983 du VIH, le virus responsable du SIDA.
Il est professeur émérite à l’Institut Pasteur, où il a dirigé, de 1972 à 2000, l’Unité d’Oncologie Virale, directeur émérite de recherche auCentre national de la recherche scientifique3et ancien professeur à l’Université de New-York. Il est membre des Académies des Sciences et de Médecine.
En 2010, Luc Montagnier a annoncé qu’il prenait la direction d’un nouvel institut de recherche en Chine à l’université Jiaotong de Shangai, il poursuivra ses recherches sur l’ADN à de très hautes dilutions.
Engagements publics
Se disant agnostique, il milite pour que les religions ne refusent pas les apports des sciences. De façon plus large, il lutte contre les injustices. Il a lancé le premier Sidaction aux côtés de Line Renaud en 1994. Mais pourquoi n’avoir rien dit à cette époque ?
Luc Montagnier est lauréat de la Médaille d’argent du CNRS, il a reçu le prix Albert Lasker en 1986, les Prix Galien, Jeantet, Korber, et le Prix Prince des Asturies de science avec Robert Gallo en 2000. Le 6 octobre 2008, il est corécipiendaire du prix Nobel de médecine avec Françoise Barré-Sinoussi pour ses travaux sur le virus du sida, dont la « découverte a été essentielle à la compréhension actuelle de la biologie de cette maladie et à son traitement antirétroviral », selon le comité Nobel.
Il est Grand Officier de la Légion d’honneur depuis le 1er janvier 2009 et commandeur de l’Ordre national du Mérite, membre de l’Académie nationale de médecine et de l’Académie des sciences. Il est directeur de recherche émérite au CNRS et professeur émérite à l’Institut Pasteur.
Les énergies mesurables du corps humain
Les énergies mesurables du corps humain
Le terme énergie vient du grec « en ergos » qui signifie « en travail ».
Parmi les exemples d’énergie que l’on ne voit, que l’on n’explique pas bien et qui existe pourtant bel et bien : la pesanteur qui nous permet constamment de rester les deux pieds sur terre !
Voici quelques preuves objectives que notre corps physique est aussi un corps énergétique :
L’énergie des cellules : toutes nos cellules sont de mini piles électriques dont les parois ont des charges négatives d’un côté et des charges positives de l’autre. Cette différence de potentiel est due principalement à une différence de concentration en ions sodium et potassium entre le milieu intérieur et le milieu extérieur de la cellule. Elle est de l’ordre de 100 mV pour quelques dizaines de micron de surface (~ 100 000 v/cm²). Ainsi un fort champ électromagnétique est émis par chacune des cellules de notre corps.
L’influx nerveux : ce phénomène électrique résulte d’un changement de polarisation entre les charges situées à l’intérieur et à l’extérieur des cellules nerveuses pour commander, par exemple, la contraction d’un muscle (voir expérience de la pile électrique branchée sur le nerf d’une patte de grenouille).
Le rythme cardiaque : les décharges électriques du cœur sont mesurées par les électrocardiogrammes
Les impulsions électriques émises par le cerveau : ces décharges électriques sont enregistrées sur les électroencéphalogrammes. Pour certains troubles psychiatriques (dépressions sévères, schizophrénie, épilepsie,…) les médecins utilisent des électrochocs pour resynchroniser les ondes cérébrales.
Les ondes cérébrales alpha : le chercheur australien Lewis B. Hainsworth a mis en évidence la similarité entre les fréquences des ondes cérébrales alpha et les signaux rythmiques de la terre découverte par le physicien allemand W.O. Schumann dans les années 1950 (résonnance de Schumann).
Les cellules capteurs d’énergie solaire : les cellules de la peau captent l’énergie solaire ; cette énergie sert entre autres à synthétiser la vitamine D à partir du cholestérol. La lumière solaire sert également à régler notre rythme circadien (jour/nuit).
Les biophons : l’ADN de toutes les cellules du corps est capable d’émettre une énergie lumineuse de type photonique. Chaque cellule émet à son rythme selon son état et ses besoins. Dans les années 1980, le biochimiste allemand Fritz Albert Popp a mit au point un appareil capable de mesurer l’énergie biophotonique du corps humain. Il s’est aperçu que celui-ci dépendait des rythmes biologiques et que les anomalies de son émission permettaient de diagnostiquer certaines maladies.
Les méridiens : nombres de thérapies orientales comme l’acupuncture, le qi gong, .. sont basées sur la circulation des énergies au sein de l’organisme. Leur efficacité a été scientifiquement démontrée dans de nombreuses pathologies : des séances d’acupuncture antidouleur sont ainsi capables de déclencher la libération d’endorphines, hormones naturelles proches de la morphine, au niveau du cerveau. Il existe actuellement des détecteurs de points d’acupuncture : ces appareils permettent de repérer sur la peau les différences de potentiel électrique sur les points pathologiques. Une fois traité, le point n’est plus détectable.
Les champs électromagnétiques : le chercheur Georges Lakhovsky a démontré que toutes nos cellules sont de petits phénomènes oscillants produisant un champ électromagnétique et jouant le rôle d’un émetteur récepteur d’ondes. L’ADN entre ainsi en résonnance avec les ondes électromagnétiques de l’environnement. Lorsqu’il y a dysharmonie des ondes reçues, l’ADN se déséquilibre, ce qui déstructure à son tour l’eau intra et extra cellulaire. L’équilibre du corps ne peut plus être assuré ce qui peut conduire à la maladie. Certains appareils sont capables de mesurer ces ondes électromagnétiques émises par le corps.
Toutes ces ondes électriques mesurables et objectives démontrent le caractère électrique et donc énergétique de l’être humain.
extrait du livre "le livre de la medecine globale et intégrative"
Dr Luc Bodin
Et si les bactéries n'étaient pas les ennemis de la santé...
Et si les virus, les bactéries, …
n’étaient pas les ennemis de la santé,
mais ses alliés ?
Pour l’illustrer, prenons une métaphore.
Sur la route, lorsque survient un accident grave, on observe souvent la présence de policiers, de gendarmes, voire d’ambulanciers, de pompiers ou de médecins. C’est un fait. Dans ces cas-là, les journalistes sont souvent prévenus, pour couvrir l’événement. En général, à moins qu’ils ne disposent de moyens d’information particuliers, ces reporters arrivent après l’accident et après les forces de police et les secouristes. S’ils ne connaissaient pas la réalité telle qu’elle est, à force de répéter toujours les mêmes observations, les journalistes pourraient conclure, en toute bonne foi, que les policiers, les gendarmes, les ambulanciers, les pompiers et les médecins sont à l’origine de tous les accidents de la route ! Et statistiquement, en se basant uniquement sur leurs observations à posteriori, ils auraient pratiquement toujours raison !
Imaginez un instant que ce soit la même chose pour ce qu’on appelle les maladies.
En effet, lorsqu’on commence à voir quelque chose se manifester (dans la métaphore de la maison, la sortie des poubelles), c’est souvent que beaucoup de choses invisibles se sont déjà passées auparavant (l’accumulation des poubelles à l’intérieur).
Quelques chercheurs reconnus pour leur efficacité thérapeutique, ont ainsi démontré que les virus, les bactéries et les champignons étaient mobilisés par le corps (sur l’ordre du cerveau) au moment où se déclenchait le rééquilibrage, pour aider le processus à s’accomplir : soit pour apporter des matériaux pour reconstruire les cellules endommagées, soit pour évacuer les cellules devenues inutiles.
Ainsi, lorsque quelque chose se manifeste, ce que l’on croit être le début d’une maladie pourrait être en réalité le début du processus de nettoyage, de rééquilibrage et de guérison ?
Une des raisons pour lesquelles on meurt de la « maladie » serait alors que le corps ne dispose pas assez d’énergie pour retrouver complètement son équilibre : il s’épuise alors dans cette quête jamais accomplie. De même, si le déséquilibre initial a été trop profond, trop long et/ou trop intense, le nettoyage peut être si brutal et si intense que cela peut rompre l’équilibre vital de l’organisme et provoquer sa mort.
En ce qui concerne les agents cancérigènes, différentes recherches ont montré que les cancers étaient provoqués par ces agents, seulement dans 1 % des cas. C’est le cas de l’exposition à la radioactivité ou à certaines substances très toxiques à forte dose. En revanche, 99 % des autres cancers sont déclenchés par des facteurs de stress intense (des chocs psychologiques brutaux vécus dans l’isolement, traduits dans la biologie), liés souvent à des conflits humains intenses et dont on ne trouve pas de solution.
Consommer bio ou non, comment faire le bon choix
Consommer bio ou non,
comment faire le bon choix ?
Devenez un consommateur avisé et responsable
S’alimenter a toujours été le besoin premier de l’homme. Or, en cinquante ans, la part du budget familial consacrée à l’alimentation est passée de près de 50 % à 14 % selon l’Insee. Nous n’acceptons plus de payer plus cher notre nourriture, car nous avons de nouveaux besoins,le dernier matériel high-tech par exemple.
De plus, la valeur symbolique de l’aliment a diminué. La « malbouffe », très grasse, trop sucrée, trop salée, favorise la flambée de pathologies comme l’obésité, le diabète, et frappent surtout les classes sociales défavorisées. Telles sont les conséquences de notre société de consommation, avec une industrie agro-alimentaire qui s’intéresse plus à notre portefeuille qu’à notre santé. Il convient donc de redonner sa priorité à l’alimentation. Mais une alimentation de qualité est-elle vraiment un luxe ?
Les « plus » du bio
De nos jours, les produits biologiques répondent à plusieurs nécessités grâce à différentes caractéristiques.
– Leur qualité nutritionnelle
Au-delà de l’absence de polluants, le mode de production biologique se traduit par une meilleure qualité intrinsèque des produits, qui est liée à leur teneur plus dense en nutriments. Plusieurs études récentes le prouvent, tandis que d’autres montrent l’insuffisance des apports avec une alimentation conventionnelle. L’étude ABARAC
(Inserm, Montpellier) constate la présence de 25 % de nutriments en plus dans les produits bio (fibres, antioxydants). D’autres études internationales récentes ont établi les résultats suivants : aux États-Unis, 30 à 300 % d’antioxydants en plus dans les végétaux bio ; au Danemark, 50 % en plus de vitamine E, 75 % en plus de bêta-carotène et d’oméga-3 et trois fois plus d’antioxydants dans le lait bio.
– Le plaisir de manger
Les nutriments d’un aliment constituent un support de saveurs. Plus un aliment est riche en nutriments, plus il est goûteux en bouche, ce que l’on reconnaît volontiers aux produits bio, même sans analyse. Faites-en l’expérience vous-même !
– Leur effet rassasiant
Cet effet rassasiant est un élément moins connu. Ces aliments, riches en minéraux, en saveurs, en fibres, stimulent les mécanismes réflexes régulant l’appétit et la satiété. Une action intéressante pour lutter contre l’obésité.
– Ils protègent notre planète
De nombreux consommateurs manifestent de l’intérêt à l’égard d’un mode de production qui n’utilise pas de produits chimiques de synthèse, afin de respecter le développement naturel, la qualité des espèces et le renouvellement des ressources de la terre nourricière, afin également de préserver l’environnement dans toutes ses composantes, y compris sociales : c’est le but de l’agriculture biologique.
– Ils préservent la santé
On constate une progression inquiétante des cancers, des allergies, mais aussi de l’hypofertilité masculine, avec un déclin de 50 % du nombre de spermatozoïdes en cinquante ans. L’homme s’agresse lui-même lorsqu’il agresse son environnement. 80 % des maladies sont en relation avec l’alimentation (modes de production, comportements alimentaires, modes de cuisson). Il faut manger sainement, avec des aliments bio dépourvus de polluants (toxiques pour l’organisme) et riches en nutriments, minéraux et vitamines, qui nourrissent littéralement votre corps et le préserve. Mieux vaut prévenir que guérir !
Mode d’emploi pour payer le juste prix
Si les produits biologiques sont plus chers aujourd’hui, c’est le résultat d’une volonté politique. Les producteurs bio se retrouvent pénalisés sur leurs plus petites surfaces et perçoivent beaucoup moins d’aides que leurs collègues conventionnels, soit 35 % d’aides en moins. Cela explique, selon la Fédération nationale d’agriculture biologique (FNAB), l’écart entre les prix bio et conventionnels.
Le meilleur rapport qualité-prix reste la vente directe : vente aux étals des marchés, à la ferme, avec les AMAP (Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne).
Les magasins spécialisés en bio proposent une partie des denrées en vrac : produits céréaliers, légumineuses, fruits oléagineux, fruits séchés, thé, plantes, et pratiquent des prix plus abordables que la grande distribution.
Offrez-vous des aliments de base de qualité : fruits, légumes locaux et de saison, céréales, légumineuses, huile, beurre, produits laitiers et cuisinez-les vous-même.
Réduisez l’achat de plats préparés, c’est un luxe très coûteux. Par exemple, les carottes déjà râpées coûtent cinq fois plus cher que le prix au kilo des carottes entières. Dans ces conditions, une entrée de crudités, avec carottes râpées bio « maison », devient très économique.
Mangez différemment !
S’il est une règle d’or en nutrition, c’est bien de manger de tout, un peu. Or, généralement, c’est l’inverse qui se produit : on mange trop peu de variétés différentes d’aliments. Cela se traduit paradoxalement par des carences dans l’abondance. Manger bien, c’est corriger ces déséquilibres, en particulier en consommant beaucoup plus de végétaux, grands pourvoyeurs en nutriments protecteurs contre les cancers, les maladies cardio-vasculaires et le vieillissement. Pour diversifier et équilibrer son alimentation, il est urgent de remplacer une partie des protéines animales onéreuses par des protéines végétales plus économiques, moins polluantes et bien meilleures pour la santé. En pratique, associez, au cours d’un même repas, une céréale et une légumineuse, qui se complètent et apportent un équivalent qualitatif aux protéines animales.
Par exemple, prenez du couscous avec des pois chiches, du riz avec des petits pois ou du riz avec des lentilles.
L’objectif étant d’être moins « viandard », afin de limiter les inconvénients, au niveau santé, d’un apport exclusif en protéines animales et de varier les plaisirs.
Avec ces changements, il devient possible de s’offrir régulièrement des produits bio et de nourrir convenablement son corps sans dépenser (beaucoup) plus. Ainsi, on arrive à manger sainement, tout en donnant du sens, au quotidien, à un développement durable et solidaire par une « consom’action ».
Christine Bats
Diététicienne, micro nutritionniste
Human & Terre n° 34 septembre-octobre 2010
La grande arnaque du cholestérol
La grande arnaque du cholestérol
Le dogme du cholestérol qui continue à dominer la médecine officielle est toujours en vigueur. Le cholestérol est toujours considéré comme le fléau du siècle. Un doute subsiste encore : « Bon cholestérol ou mauvais cholestérol », un doute alimenté par la médecine officielle mais qui aujourd’hui est mis en cause par le docteur Michel de Lorgeril, cardiologue et chercheur au CNRS qui dénonce ce qu’il appelle « l’arnaque du cholestérol ».
C’est dans les années 1980 que le mythe du cholestérol est apparu. Les médecins apprenaient alors dans les facultés de médecine que le cholestérol était nuisible. Le fait de dépasser 200 mg/dL de cholestérol total engendrait une prescription de statines obligatoire. Malgré les graves effets secondaires de ces médicaments, les laboratoires pharmaceutiques ont réussi à convaincre beaucoup de médecins d’en prescrire automatiquement.
Aujourd’hui, tous les médecins font la différence entre le HDL (bon cholestérol), une lipo-protéine qui transporte le cholestérol en excès vers le foie pour y être détruit, et le LDL (mauvais cholestérol), qui transporte le cholestérol provenant des aliments vers les tissus.
Ils croient qu’un taux élevé de HDL (plus de 60 mg/dL) permet de réduire le risque cardiovasculaire, et qu’un taux élevé de LDL (plus de 140 mg/dL) est en revanche peu souhaitable. Mais là encore des études prouvent le contraire.
Pendant des années la propagande des médias a si bien affolé les populations sur le sujet, qu’aujourd’hui, une majorité de personnes continuent de s’inquiéter d’avoir un taux de cholestérol trop élevé mais ne se doutent pas du danger d’avoir un cholestérol trop bas, surtout si ce niveau est atteint artificiellement par des médicaments.
Une équipe de chercheurs de l’INSERM dirigée par le Dr Singh-Manoux a étudié plus de 3.500 cas pour déterminer les liens entre le niveau de cholestérol HDL (le supposé « bon » cholestérol) et la mémoire. Après un suivi sur cinq ans, les chercheurs ont conclu que les personnes ayant un niveau réduit de cholestérol HDL avaient 53 % de risque supplémentaire de souffrir de pertes de mémoire que les personnes ayant des taux élevés de HDL. Ces pertes de mémoire sont un signe avant-coureur du développement de démence à un âge plus avancé dont la maladie d’Alzheimer.
Le lien entre cholestérol, mémoire et Alzheimer n’est pas nouveau. En décembre 2010, une équipe américaine de l’université de Columbia a constaté que les personnes âgées qui ont des taux plus élevés de cholestérol HDL mais aussi de cholestérol total (y compris le soi-disant « mauvais » cholestérol LDL), ont un risque plus faible d’Alzheimer. Ce fait n’est pas nouveau et certains chercheurs ont pu observer ce phénomène déjà depuis plus de 20 ans.
Malheureusement cette nouvelle information sur les bienfaits du cholestérol reprise par la BBC n’a pas été diffusée en France où le dogme du cholestérol : « Pire que le poison » continue toujours à dominer la médecine officielle.
En réalité le cholestérol est bon pour vous dans la mesure où il est présent dans toutes les cellules de votre corps, il contribue à produire et régénérer les membranes cellulaires, des hormones, de la vitamine D et des acides biliaires pour aider à la digestion des graisses.
Le corps est de nature intelligente et est capable de savoir ce qui est bon pour lui. Si le niveau de cholestérol augmente dans le sang c’est parce qu’il doit rétablir l’équilibre naturel du corps. Le cholestérol rebouche les petits trous causés dans la paroi interne des artères par des agents inflammatoires, c’est en réalité un pansement naturel pour les artères. Le cholestérol est aussi produit chaque fois qu’une cellule est endommagée, car il s’agit d’un composant nécessaire pour fabriquer une nouvelle cellule en bonne santé. Plus vous avez de cellules endommagées, plus votre corps produit de cholestérol, ce qui signifie que vos cellules sont en train d’être réparées.
Le cholestérol est aussi indispensable aux fonctions neurologiques. En fait, lorsque votre cholestérol diminue trop, toute une série d’effets négatifs se produit dans votre corps.
Les ouvrages du Dr Michel de Lorgeril « Cholestérol, mensonges et propagande » et « Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent il vous soignera sans médicament » ont été publiés afin d'éclairer de manière objective sur ce sujet de grande controverse.
Un autre ouvrage du même auteur sera publié prochainement pour vous donner la marche à suivre pour réduire le risque d’infarctus, sans prendre de médicament contre le cholestérol.
La santé holistique
La santé holistique
La « santé holistique » est un terme qui inquiète plus d’une personne. On s’imagine un gourou portant une longue robe, travaillant dans la pénombre, entouré d’émanations d’encens et psalmodiant des incantations. Trop souvent, le manque d’information ou une mauvaise interprétation d’un sujet sème la frayeur dans une imagination débordante.
Le mot « holistique » est l’adjectif du nom « holisme »; d’après le dictionnaire Le Petit Robert, il se définit comme suit: « Théorie selon laquelle l'homme est un tout indivisible qui ne peut être expliqué par ses différentes composantes (physique, physiologique, psychique) considérées séparément. » Holisme vient du mot grec holos qui signifie « entier ».
La santé holistique est simplement une approche globale à la santé (ou à la maladie) qui prend soin de l’être humain sous toutes ses facettes.
Lors d’une consultation selon ce concept, on questionnera autant l’aspect physique, psychologique, nutritionnelle qu’environnementale. Le bilan inclura des questions sur le problème de santé, bien entendu, mais aussi sur la génétique familiale, l’alimentation, l’environnement tant à la maison qu’au travail, la gestion des émotions (stress, deuil, relaxation, solitude) et l’exercice physique. Comparativement, la médecine allopathique s’intéresse surtout aux symptômes physiologiques et s’évertue à choisir le médicament approprié.
Dans un monde idéal, la médecine traditionnelle travaillerait main dans la main avec la médecine holistique, car nul doute que les deux sont nécessaires. D’ailleurs, la santé holistique est souvent appelée « médecine complémentaire ». Le but ultime étant la santé de l’individu, la population doit se prendre en main pour l’atteindre ; au fond, qu’il s’agisse d’acheter une voiture ou de prendre soin de notre corps, l’information reste notre meilleur outil.
La santé holistique offre un large inventaire de thérapies : naturopathie, phytothérapie (traitement des maladies par les plantes), homéopathie, chiropractie, acupuncture, iridologie, ostéopathie, massothérapie, réflexologie, reiki, et plusieurs autres. Il s’agit d’explorer la thérapie la plus appropriée à son besoin. Par exemple, une personne souffrant d’un mal de dos pourrait choisir l’ostéopathie, la chiropractie ou la massothérapie, alors que la phytothérapie pourrait être complémentaire en offrant un produit naturel contre la douleur ou l'inflammation. Une personne qui se sent mal mais sans savoir exactement pourquoi préfèrera la naturopathie qui l’aidera à préciser la source de son malaise. Une combinaison de plusieurs thérapies peut quelquefois apporter un soulagement plus rapide et durable.
La santé holistique ou globale vise à rétablir l’équilibre entre le corps et l’esprit.
Un corps en harmonie sera moins susceptible aux infections, aux effets néfastes du stress et sera plus résistant aux maladies dégénératives (arthrite, alzheimer, parkinson). La prévention reste le meilleur moyen de protéger notre précieuse santé. Une bonne alimentation, des suppléments de vitamines et minéraux, l'exercice physique et des périodes de repos et de relaxation adéquates nous assureront un esprit sain dans un corps sain.
Manger des noix ....
Manger des noix aiderait à lutter
contre le cancer du sein
Consommer deux poignées de noix par jour diminuerait les risques de cancer, révèle une étude américaine publiée dans la revue Nutrition and Cancer.
Les chercheurs de Marshall University aux Etats-Unis sont parvenus à cette conclusion en constatant chez des souris que 56 g de consommation quotidienne de noix ralentissait la croissance des tumeurs cancéreuses mammaires.
"La nourriture est un médicament", rappelle l'auteur principal de l'étude, Elaine Hardman. "Ce que nous mangeons peut avoir un gros impact sur notre santé : cela détermine comment le corps fonctionne, et comment il réagit à la maladie".
Autres bonnes raisons de ne pas se passer des noix
Les noix sont très riches en polyphénols, des antioxydants naturels. Elles contiennent presque deux fois plus d'antioxydants que les amandes, les cacahuètes, les pistaches, les noisettes, les noix de cajou, de macadamia, du Brésil et de Pécan, d'après les chercheurs.
Les noix sont également pleines d'oméga 3, de fibres, de vitamine E et elles aident à combattre le cholestérol. Désormais, vous n'avez plus d'excuses pour vous en priver. Vous pouvez en agrémenter vos salades, vos mueslis et la grignoter en en-cas dans la journée.
L'usage du téléphone portable peut être cancérogène
L'usage du téléphone portable peut être cancérogène selon l'OMS
Des experts internationaux, réunis à l'initiative de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), ont statué mardi que l'usage des téléphones portables pouvait être cancérogène, plaidant pour l'utilisation des kits mains libres et la pratique des SMS.
"Les preuves, qui continuent à s'accumuler, sont assez fortes pour justifier une classification de l'usage du téléphone portable en "peut-être cancérogène pour l'homme", a estimé Jonathan Samet, président du groupe de travail d'une trentaine d'experts qui se sont réunis pendant huit jours à Lyon.
Ces experts se sont rassemblés sous l'égide du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une agence de l'OMS, pour étudier les risques de cancer que font courir les "champs électromagnétiques de radiofréquence". Ils ont analysé toutes les études conduites sur le sujet.
Le classement retenu est fondé "sur des études épidémiologiques montrant un risque accru de gliome, un type de cancer du cerveau associé avec l'usage du téléphone portable", a précisé M. Samet au cours d'une conférence de presse téléphonique.
Ce classement signifie qu'"il peut y avoir un risque, et que donc nous devons surveiller de près le lien entre les téléphones portables et le risque de cancer", a ajouté M. Samet.
Pour Christopher Wild, directeur du CIRC, "Il est important que des recherches complémentaires soient menées sur l'utilisation intensive, sur le long terme, des téléphones portables. Dans l'attente de la disponibilité de telles informations, il est important de prendre des mesures pragmatiques afin de réduire l'exposition aux ondes".
Les experts ont estimé que s'il existait un lien possible pour les gliomes et les neurinomes de l'acoustique, il n'était pas possible de tirer des conclusions pour les autres types de cancer.
Le groupe de travail n'a pas quantifié le risque. Selon le Pr Lasfargues, il se base sur l'étude Interphone qui a étudié un usage du portable jusqu'en 2004 et a montré une augmentation de 40% du risque de gliomes chez les plus gros utilisateurs (à l'époque définis comme utilisant l'appareil pendant en moyenne 30 mn par jour pendant 10 ans).
Le Dr Robert Baan, chercheur du CIRC, a souligné la difficulté de l'exercice en se basant sur une étude relativement ancienne : "Concernant les forts utilisateurs, il faut faire attention, car les données épidémiologiques remontent à 10 ans. Entretemps, la technologie a beaucoup évolué et les téléphones modernes ont une émission beaucoup plus basse que les anciens".
"Il y a une amélioration de la technologie mais il y a aussi une augmentation de l'usage, il est difficile de faire la balance entre les deux", a-t-il ajouté.
Le Pr Lasfargues s'est dit "satisfait" des conclusions de l'Oms, les mêmes que celles auxquelles était parvenue l'Anses (qui s'appelait alors Afsset) en 2009.
Une goutte de sang qui en dit long
Une goutte de sang qui en dit long
Selon des scientifiques, on peut détecter certaines maladies grâce aux motifs qui apparaissent lorsqu’on fait sécher une goutte de sang.
Prenez une goutte de votre sang, laissez-la sécher sur une lame de verre, puis regardez-la attentivement au microscope : elle vous dévoilera votre état de santé. Voilà l’idée d’une équipe de l’Institut universitaire des systèmes thermiques industriels (IUSTI)1 de Marseille, qui cherche à mettre au point une méthode de diagnostic médical inédite fondée sur l’observation d’échantillons de sang séché2. «Le sang est composé à 55 % d’eau et contient une grande diversité de particules micrométriques telles que les globules blancs et rouges ou les plaquettes sanguines. Il contient aussi des protéines, des lipides et des ions», rappelle Benjamin Sobac, doctorant à l’IUSTI.
Lorsqu’une goutte de sang déposée sur une lame de verre commence à sécher, une partie des éléments en suspension se déplace vers la périphérie. Une fois l’eau évaporée, il reste un dépôt rouge paré de motifs réguliers.
Ceux-ci ne sont pas du tout dus au hasard et varient uniquement en fonction de la composition du sang. Ils recèlent donc des informations, que nos chercheurs sont les premiers à avoir eu l’idée d’exploiter.
« Notre technique pourrait permettre de détecter de nombreuses maladies à partir d’une expérience unique, sans nécessiter les analyses multiples et coûteuses dont on se sert actuellement », affirme David Brutin, de l’IUSTI.
L’hémophilie, les pathologies de l’hémoglobine et toutes les maladies qui affectent la composition du sang sont potentiellement détectables par cette méthode.
Source : le Journal du CNRS n°255 avril 2011