Nos enfants nous accuseront
Nos enfants nous accuseront !
Quel destin proposez-vous à vos enfants ?
Un matin, je me suis réveillée en colère, et je me suis dit : « Dans quel monde vivons-nous ? est-ce qu’on est tous tombés sur la tête ?»
La veille, un ami m’a dit « tu sais, le cancer des enfants, c’est un sujet douloureux, tabou, dont personne ne veut parler !». Cela m’a renvoyé vers ces personnes qui ont un proche en fin de vie et qui ne veulent pas aller le voir parce que « tu comprends, c’est trop dur pour moi de le voir dans cet état !». Et lui ? vous avez pensé à lui ? celui qui s’en va, la trouille au ventre de mourir, dans la douleur, les regrets, la colère ou la culpabilité !
Alors vos enfants ? vous avez peur de les voir mourir ? oui ? c’est normal ! alors pourquoi ne veillez-vous pas sur leur santé ? pourquoi ne voulez-vous pas savoir ce qui est bon pour eux ? pourquoi ne vous donnez-vous pas le choix de savoir quel système de santé vous allez leur proposer quand ils tomberont malades ?
Vous avez une voiture ? vous faites attention à votre voiture ? vous respectez le mode d’emploi ? vous y mettez l’essence qui lui convient ? avez-vous essayé d’y mettre du coca ? non ? essayez ! au pire, elle ne marchera plus et vous changerez de voiture !
Par contre, pourquoi dans votre corps faites-vous des essais en le remplissant de produits chimiques,…. Et en faisant la même chose pour vos enfants ?
Et pourtant, vous n’avez qu’un seul corps ! vous ne pourrez pas en changer avant la fin de votre vie ! avez-vous envie d'un corps vieillissant prématurément, perclu de douleurs articulaires, de problèmes digestifs, de muscles défaillants, et voué à la cancérisation ?
Pourtant, aujourd’hui il est devenu normal :
- d’intoxiquer les enfants en bas âge avec du cadmium présents en quantité importante dans les produits destinés aux tout petits !
-
de gaver nos enfants de graisses trans en les nourrissant presque exclusivement de chips, pop corn, gâteaux, lait discount, produits industriels et steaks hachés 1ère catégorie
- de les sous-alimenter en préférant les fruits et légumes irradiés et remplis de pesticides des centres commerciaux à ceux fraichement ramassés chez un agriculteur local !
- de les abreuver avec de l’eau en bouteille exposée des heures en plein soleil, ou des sodas chimiques !
- de les réduire au silence avec des sucreries riches en sucre blanc ou en aspartame !
- de les exposer aux ondes électromagnétiques en les occupant avec des portables et des tablettes !
-
de détruire leur quotient intellectuel en les abrutissant devant la télévision et les jeux video !
- de détruire leurs défenses immunitaires en les vaccinant abusivement !
- d’intoxiquer leur foie avec forces médicaments et antibiotiques !
- de les enduire avec des cosmétiques ou des crèmes solaires dont les composants se retrouvent dans les enduits de façade !
- de promener les landaus le long des routes, en pleine chaleur, à la hauteur des pots d’échappement des voitures, motos, bus, camions,… pour faire « prendre l’air » à nos chères têtes blondes… !
Dans un corps adulte, nos cellules se renouvellent, à des rythmes différents selon l’âge, les organes et les tissus. On considère que chaque seconde qui passe, environ 2 000 cellules adultes ont fini leur vie naturellement, soit plusieurs milliards chaque jour.
En plus de la croissance de nos enfants qui poussent d’un coup à la puberté, nous voyons bien que nos cheveux, comme nos ongles, se renouvellent sans cesse. Notre peau change de couleur au soleil. Nous le vérifions d’une semaine, d’un mois à l’autre. Nous ne voyons pas les autres cellules de notre organisme, pourtant, elles sont en permanent renouvellement.,
Nos cellules se nourrissent de ce que nous leur donnons à manger, de l’air que nous respirons, de l’amour que nous leur donnons… Et vous ? Quelle nourriture donnez-vous aux enfants ?
Les cancers juvéniles sont différents des cancers adultes : pourquoi ?
- Les adultes sont plus touchés par les cancers du sein, du poumon, de la prostate, de l'intestin et de la vessie : leur organisme étant constitué, le cancer se localise plutôt sur des organes défaillants.
- Les enfants sont surtout affectés par la leucémie aiguë, les tumeurs au cerveau et au système nerveux, au système lymphatique, aux reins, aux os et aux muscles : leur organisme étant en pleine croissance, ce sont les « briques » de l’édifice qui lâchent !
D’après les dernières statistiques :
- Augmentation de 50% des tumeurs du cerveau chez les enfants au Royaume-Uni en 10 ans, + 40% au Danemark, en Finlande
- Au Canada : Environ 10 000 enfants vivent avec le cancer au Canada aujourd'hui. Chaque année, environ 1 500 cas sont diagnostiqués. Le cancer juvénile y demeure responsable de plus de décès que toute autre maladie entre l'âge de un an et l'adolescence ; il est plus mortel que l'asthme, le diabète, la fibrose kystique et le sida réunis.
- En Suisse, les cancers représentent cependant la deuxième cause de mortalité dans l’enfance. Les plus fréquents sont les leucémies (32%), les tumeurs du système nerveux central (22%) et les lymphomes (12%)
- En France, chaque année environ 1800 enfants sont atteints de cancer, ce qui fait un sur 600. Si les taux de guérison ont considérablement progressé en 20 ans (de 30 à 70%), ces maladies restent néanmoins la deuxième cause de mortalité des enfants de plus de 1 an après les accidents. Environ 500 d'entre eux décèdent chaque année et les enfants guéris en sortent très souvent avec des séquelles importantes.
Les enfants sont notre avenir et nous les empoisonnons ! Ne croyez-vous pas qu’il est temps de se réveiller ? de se responsabiliser ? et de réveiller les personnes autour de vous ?
Ne faites plus comme si vous ne saviez pas !
Chaque fois que vous voyez une information importante sur la santé, communiquez ! Faites la circuler !
Allez voir des films et des conférences sur la santé, sur les moyens de se soigner, surtout si cela concerne le cancer !
Invitez les personnes autour de vous à venir avec vous.
Nous sommes tous exposés de près ou de loin, et il est important de savoir ! De connaitre les protocoles thérapeutiques qui nous sont proposés ! De connaitre les thérapies alternatives à notre disposition !
Peut-être qu’en faisant comme cela vous allez sauver la vie d’un enfant ou d'un adulte autour de vous !
Donnez-vous le choix de vivre en bonne santé,
et d'être soigné comme vous le voulez !
Prenez conscience que :
- la santé commence par la prévention,
- la prévention passe par le droit d’avoir le choix
- de son alimentation,
- de son cadre de vie,
- de son chemin de vie,
- de sa santé,…
- le choix passe par la connaissance,
- la connaissance passe par la diffusion de l’information.
Nos Enfants Nous Accuseront
un film de Jean-Paul JAUD
IL
Projection débat - 24 septembre 2014 - Peut-on soigner ou être soigné librement ?
Projection débat
Peut-on soigner ou être soigné
librement
en France ?
débat animé par le Dr Nicole Delepine
et Jean-Yves Bilien
sur le documentaire :
"Cancer Business Mortel"
Projection unique !
CANCER : Nous sommes tous concernés de près ou de loin. Avec 500 décès par an, le cancer est la première cause de mortalité des enfants par maladie. En 10 ans, il a fait plus de morts que la première guerre mondiale ! Il est donc urgent de s'intéresser aux 2 types de prise en charge qui sont pratiquées :
- une médecine uniformisée, informatisée, déshumanisée appliquant les recommandations du "Plan Cancer III" qui prévoit entre autres le "doublement du nombre d'essais thérapeutiques d'ici à 2019 » y compris sur les enfants, pour favoriser l'innovation et la compétitivité des industries de santé....
- ou une médecine personnalisée, humaine, à l’écoute du patient, à même de proposer le traitement le mieux adapté à chacun...
Mais nous adultes, enfants, malades, inquiets, culpabilisés,... AVONS-NOUS VRAIMENT LE CHOIX ? Telle est la question que nous renvoie ce documentaire à travers l'enjeu du service d'oncologie pédiatrique de l'Hôpital de Garches.
Y aurait-il un super business de la maladie qui ne tiendrait pas compte des patients en souffrance ?
Le docteur Nicole Delépine, Cancérologue, ancien responsable de l’unité d’oncologie pédiatrique de l’hôpital universitaire Raymond Poincaré à Garches (APHP), a pratiqué avec son équipe une cancérologie individualisée, sans aucun doute mieux tolérée et de surcroît plus efficace. Ses résultats parlent d’eux-mêmes : plus de 80% de réussite sur des cancers de l’os chez l’enfant si la prise en charge est immédiate contre 50% ailleurs. L'équipe du Docteur Nicole Delépine est spécialisée dans le traitement des tumeurs osseuses comme notamment : l'osteosarcome, le sarcome d'ewing et d'autres formes de cancers infantiles comme les tumeurs cerebrales, tumeurs médullaires, sarcomes des parties molles, synovialosarcome, chondrosarcome, glioblastome, astrocytome, gliome, oligodendrogliome, rhabdomyosarcome, sarcome à cellules claires, neuroblastomes, lymphomes, maladies de hodgkin, nephroblastomes, par chimiothérapie.
"La plupart des praticiens n'ont jamais voulu reconnaître les méthodes du Docteur Delépine jugées dérangeantes. Pourtant, les traitements qu'elle dispense sont efficaces et n'ont rien de révolutionnaire, ils existent depuis 30 ans", assure Dominique Hauteville, cancérologue à l'hôpital Paul-Brousse de Villejuif. Cette thérapie s'appuie essentiellement sur une molécule, le méthotrexate, injectée à des doses plus importantes qu'ailleurs. "Nous dispensons des quantités de plus en plus fortes tant que la tumeur n'a pas diminué de façon significative et que la tolérance du patient est satisfaisante. Mes confrères utilisent une dose fixe et des protocoles standardisés", déclare la cancérologue.
Elle est aussi farouchement opposée au dernier plan de lutte contre le cancer, annoncé en février, qui prévoit de "doubler en cinq ans le nombre d'essais cliniques" qui concernent actuellement 25 000 patients. "Mes confrères sont contraints d'inclure toujours plus d'enfants dans ce type d'essais. Ils testent sur le patient de nouveaux produits développés par les laboratoires et de nouvelles combinaisons, plutôt que d'utiliser des traitements déjà reconnus comme efficaces", dénonce Mme Delépine.
Après trente ans de bons et loyaux services, le Dr Delépine a pris sa retraite et à cette occasion les pouvoirs publics ont programmé la fermeture de son service. La présence de la petite équipe des 8 médecins séniors pédiatres qui exercent avec elle depuis plus de trente ans peut garantir la pérennité de ses méthodes et pourtant l'administration a décidé de fermer le service. "Après plus de 25 ans de lutte, ce service existe toujours. Il est à parier que si les résultats n’avaient pas été significatifs, l’unité aurait tout bonnement disparu depuis bien longtemps."
Peut-on soigner ou être soigné librement en France ?
Alors qu'il s'agit de la santé de tout un chacun, de la qualité des soins à apporter, comment supporter de lire ces propos de l'Alliance pour la Recherche et l'Innovation des Industries de Santé, ARIIS (*) :
"Les industries de santé constituent un secteur stratégique dont le poids économique et le potentiel de croissance sont considérables. Selon l'étude Coe-Rexecode publiée en septembre 2012, chaque euro supplémentaire généré par les entreprises du médicament se traduit par 3 euros de valeur supplémentaire dans l'ensemble de l'économie française. En cette période de crise économique sans précédent, la recherche et l'innovation constituent des enjeux majeurs pour notre société. Favoriser les partenariats public-privé, c'est favoriser l'innovation et la compétitivité des industries de santé. C'est garantir la pérennité et le développement d'un des secteurs les plus innovants de notre économie, source d'emploi et de croissance"
La médecine actuelle semble s’élaborer sur un fonctionnement à plusieurs vitesses. Cette médecine uniformisée, informatisée, déshumanisée n’est pas du goût du Dr Delépine et de ses collègues.
Pourra-t-elle continuer à travailler malgré son départ à la retraite ?
Ses collègues pourront-ils poursuivre leurs missions ?
Autant de questions posées dans le film, dans lequel interviennent les «people» Pascal Olmeta, Astrid Veillon et Laurent Baffie, tous les trois impliqués dans des associations de soutien aux petits malades.
Hier soir, un ami m’a dit « tu sais, le cancer des enfants, c’est un sujet douloureux, tabou, dont personne ne veut parler !». Cela m’a renvoyé vers ces personnes qui ont un proche en fin de vie et qui ne veulent pas aller le voir parce que « tu comprends, c’est trop dur pour moi de le voir dans cet état !». Et lui ? [...] |
Mercredi 24 septembre 2014
à 20 h 30
à Gagnac sur Garonne
Banlieue nord de Toulouse
Salle Espace Garonne
(voir plan d'accès)
adhésions et/ou réservations en ligne recommandées sur FESTIK
règlement par CB ou chèque
reste des places !
Participation : adhérent Kheops : 8€ - non adhérent : 10€
une partie des entrées sera reversée à l'association AMETIST
des parents d'enfants malades de l'hôpital de Garches
affiche_film_cancer à télécharger
pour diffusion et affichage autour de vous
(salles d'attente de thérapeutes, magasins bio, commerces, bibiliothèques,
CE, tableaux d'affichage des entreprises,...)
en présence du Dr Nicole DELEPINE
Ancien Interne et ancien Chef de Clinique des Hôpitaux, Nicole Delépine s'est successivement spén pésence du spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie. Elle a dirigé l'Unité Fonctionnelle de Cancérologie de l'Adolescent et de l'Adulte Jeune de l'hôpital Raymond Poincaré de Garches (92) jusqu'au 18 juillet dernier.
Médecin hospitalier à temps plein, Nicole Delépine se bat, depuis 20 ans, pour améliorer les prises en charge des malades atteints de cancer. Elle est l'auteur d'une centaine d'articles originaux sur le sujet et a présenté, ces dernières années, une moyenne de 15 communications annuelles dont les 2/3 dans les congrès internationaux.
La réputation de Nicole Delépine est considérable dans le domaine des tumeurs des os et des parties molles. Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l'étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux.
du Dr Gérard DELEPINE
Chirurgien orthopédiste et cancérologue, le Dr Gérard Delépine est un précurseur dans la chirurgie conservatrice pour les malades atteints de sarcomes avec la mise en place de prothèses évolutives sur les enfants en pleine croissance afin d'éviter ou de limiter les amputations.
du producteur réalisateur Jean-Yves BILIEN
Auteur/réalisateur de documentaires depuis quinze ans et fondateur de la revue «Enquêtes de santé», Jean-Yves Bilien mène inlassablement des investigations dans le domaine de la santé. Ses axes d’études concernent en autres la biologie, la cancérologie, la physique quantique…
Il est l’auteur d’une collection de 30 films sur ces sujets et a réalisé plus de 300 interviews de médecins, chercheurs et thérapeutes dans le monde. Il aborde des sujets tabous, rarement évoqués dans les médias et apporte un regard original sur la science et la médecine.
site de Jean-Yves Bilien
et de parents d'enfants hospitalisés qui viendront témoigner...
plus d'infos :
Video de présentation du film en date du 15 avril 2014
Biographie du Dr Nicole DELEPINE
Article du Dr Olivier SOULIER
Article de présentation du film sur "la Depêche du Midi"
Présentation faite devant l'Académie Nationale de Pharamacie le 30 avril 2014 par Mme le Professeur Marie-Christine PERAULT-POCHAT de la Faculté mixte de Médecine et Pharamcie de Poitiers concernant les effets indésirables graves des anticancereux [...]
OPA sur le Cancer : un fléau qui rapporte
Lettre ouverte au Président François Hollande
Existe t-il un lobby pharmaceutique ?
Publications sur l'osteosarcome des Dr Delépine
Page Facebook de l'Unité d'Oncologie Pédiatrique de Garches
Association AMETIST des parents d'enfants malades du service du Dr Delepine
Charte du patient hospitalisé consultable sur http://www.sante.gouv.fr
- Toute personne est libre de choisir l’établissement de santé qui la prendra en charge
- L’information donnée au patient doit être accessible et loyale
- Un acte médical ne peut être pratiqué qu’avec le consentement libre et éclairé du patient
- Une recherche biomédicale ne peut être réalisée sans que la personne ait donné son consentement
après avoir été spécifiquement informée sur les bénéfices attendus, les contraintes et les risques
prévisibles
- La personne hospitalisée peut, à tout moment, quitter l’établissement
- La personne hospitalisée bénéficie d’un accès direct aux informations de santé la concernant
La loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé prévoit que le médecin doit respecter la volonté de la personne, après l'avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté du patient de refuser ou d'interrompre un traitement met sa vie en danger, le médecin doit respecter cette décision, mais aussi tout mettre en œuvre pour le convaincre d'accepter les soins indispensables.
(*) Rapport ARIIS (Alliance pour la recherche et l'innovation des industries de santé "Outil de suivi des partenariats public-privé (PPP) dans le domaine de la santé en France". Étude réalisée auprès de 27 industriels (60% des membres d'ARIIS) dont le secteur d'activité est majoritairement le médicament humain
Si vous souhaitez recevoir les prochaines dates de conférences organisées par l'association KHEOPS,
merci d'envoyer un mail ICI avec INSCRIPTION ACTIVITES KHEOPS en objet
et d'ajouter l'email de Kheops à vos contacts
voir programmation 2014 - 2015
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Ne montrez plus vos seins...
Pour que vos seins restent sains...
Ne montrez plus vos seins!
Extrait de l'infolettre de Néosanté de Yves Razir
du 27 mars 2013:
La mammographie augmente
l'incidence du cancer
« Si le dépistage du cancer était un médicament, il aurait été retiré »
- Peter Götzschze -
Citations de Peter Götzsche, co-fondateur de Cochrane :
«Il ressort des deux grands essais inclus dans notre évaluation Cochrane que l’auto-examen régulier des seins n’a pas démontré d’efficacité sur la mortalité par cancer du sein, voire qu’il est dommageable, car il entraîne une augmentation du nombre de biopsies. Même l’American Cancer Society, pourtant très favorable au dépistage, ne le recommande plus.
En ce qui concerne le dépistage par mammographie, des études rigoureuses et récentes montrent qu’il ne réduit pas l’incidence des cancers avancés et n’a pas d’effet sur la mortalité par cancer du sein.
En revanche, le dépistage transforme des femmes en bonne santé en patientes cancéreuses, et entraîne une augmentation du nombre de mastectomies, parce qu’il détecte des tumeurs qui n’auraient pas mis la santé de ces femmes en danger, voire n’auraient jamais été détectées si ces femmes n’avaient pas participé au dépistage.
Dans les pays dotés de programmes, le taux de surdiagnostic est d’environ 50%. En évitant le dépistage, les femmes de la tranche d’âge concernée peuvent réduire d’un tiers leur risque de se faire diagnostiquer un cancer du sein. Le meilleur moyen de réduire l’incidence du cancer du sein, c’est donc de stopper le dépistage».
«Les femmes ne devraient plus accepter la désinformation à laquelle on les expose. Le mépris du principe du consentement éclairé, le déni collectif, la manipulation des données concernant le surdiagnostic et le faible bénéfice du dépistage, tout cela représente peut-être le plus grand scandale éthique qu’ait jamais connu la santé.
Des centaines de millions de femmes ont été séduites par l’idée du dépistage sans savoir qu’il pouvait leur porter préjudice. Il est temps que cela cesse».
Dans son dernier livre «Mammography screening: truth, lies and controversy» ["Mammographies, dépistage, mensonges et controverses"], Peter Götzsche consacre tout un argumentaire à la mammographie, dont il démonte les arguments favorables en démontrant qu’ils sont tout simplement faux.
Quant au Dr Marc Girard il écrit carrément que le dépistage des tumeurs mammaires est en réalité «un piège à c….».
Alors, si vous pensez : "Mes deux seins sont à moi et non aux mé-de-cins", gardez-les pour vous, pour vos nourrissons et pour ceux qui vous aiment...!
Manger des noix ....
Manger des noix aiderait à lutter
contre le cancer du sein
Consommer deux poignées de noix par jour diminuerait les risques de cancer, révèle une étude américaine publiée dans la revue Nutrition and Cancer.
Les chercheurs de Marshall University aux Etats-Unis sont parvenus à cette conclusion en constatant chez des souris que 56 g de consommation quotidienne de noix ralentissait la croissance des tumeurs cancéreuses mammaires.
"La nourriture est un médicament", rappelle l'auteur principal de l'étude, Elaine Hardman. "Ce que nous mangeons peut avoir un gros impact sur notre santé : cela détermine comment le corps fonctionne, et comment il réagit à la maladie".
Autres bonnes raisons de ne pas se passer des noix
Les noix sont très riches en polyphénols, des antioxydants naturels. Elles contiennent presque deux fois plus d'antioxydants que les amandes, les cacahuètes, les pistaches, les noisettes, les noix de cajou, de macadamia, du Brésil et de Pécan, d'après les chercheurs.
Les noix sont également pleines d'oméga 3, de fibres, de vitamine E et elles aident à combattre le cholestérol. Désormais, vous n'avez plus d'excuses pour vous en priver. Vous pouvez en agrémenter vos salades, vos mueslis et la grignoter en en-cas dans la journée.
L'usage du téléphone portable peut être cancérogène
L'usage du téléphone portable peut être cancérogène selon l'OMS
Des experts internationaux, réunis à l'initiative de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), ont statué mardi que l'usage des téléphones portables pouvait être cancérogène, plaidant pour l'utilisation des kits mains libres et la pratique des SMS.
"Les preuves, qui continuent à s'accumuler, sont assez fortes pour justifier une classification de l'usage du téléphone portable en "peut-être cancérogène pour l'homme", a estimé Jonathan Samet, président du groupe de travail d'une trentaine d'experts qui se sont réunis pendant huit jours à Lyon.
Ces experts se sont rassemblés sous l'égide du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une agence de l'OMS, pour étudier les risques de cancer que font courir les "champs électromagnétiques de radiofréquence". Ils ont analysé toutes les études conduites sur le sujet.
Le classement retenu est fondé "sur des études épidémiologiques montrant un risque accru de gliome, un type de cancer du cerveau associé avec l'usage du téléphone portable", a précisé M. Samet au cours d'une conférence de presse téléphonique.
Ce classement signifie qu'"il peut y avoir un risque, et que donc nous devons surveiller de près le lien entre les téléphones portables et le risque de cancer", a ajouté M. Samet.
Pour Christopher Wild, directeur du CIRC, "Il est important que des recherches complémentaires soient menées sur l'utilisation intensive, sur le long terme, des téléphones portables. Dans l'attente de la disponibilité de telles informations, il est important de prendre des mesures pragmatiques afin de réduire l'exposition aux ondes".
Les experts ont estimé que s'il existait un lien possible pour les gliomes et les neurinomes de l'acoustique, il n'était pas possible de tirer des conclusions pour les autres types de cancer.
Le groupe de travail n'a pas quantifié le risque. Selon le Pr Lasfargues, il se base sur l'étude Interphone qui a étudié un usage du portable jusqu'en 2004 et a montré une augmentation de 40% du risque de gliomes chez les plus gros utilisateurs (à l'époque définis comme utilisant l'appareil pendant en moyenne 30 mn par jour pendant 10 ans).
Le Dr Robert Baan, chercheur du CIRC, a souligné la difficulté de l'exercice en se basant sur une étude relativement ancienne : "Concernant les forts utilisateurs, il faut faire attention, car les données épidémiologiques remontent à 10 ans. Entretemps, la technologie a beaucoup évolué et les téléphones modernes ont une émission beaucoup plus basse que les anciens".
"Il y a une amélioration de la technologie mais il y a aussi une augmentation de l'usage, il est difficile de faire la balance entre les deux", a-t-il ajouté.
Le Pr Lasfargues s'est dit "satisfait" des conclusions de l'Oms, les mêmes que celles auxquelles était parvenue l'Anses (qui s'appelait alors Afsset) en 2009.